Je vous observe dans l’enchevêtrement des actions qui ne cesse de s’amplifier.
Chers compagnons, je vous côtoie, je vous lis, je vous sens dans une proximité qui m’éclaire, me questionne et me dépose dans l’essence de mon humanité. Je vous vois vous débattre contre le temps, je vous vois pris par un temps devenu autre. Je vous vois être dans un débordement permanent de la vie, allant vers un trop plein fabriquant du vide.